Portrait de la réserve cyberdéfense


Quand on pense aux forces armées, on s’imagine beaucoup de soldats et de tanks combattants lointains. Cependant, il y a aussi un secteur qu’on ne doit pas oublier : le cyberespace. On le voit avec l’actuelle guerre russo-ukrainienne où les états combattent dans le front numérique pour « éteindre » des services vitaux comme des casernes de pompiers ou des hôpitaux. Par exemple, il y a quelques semaines, l’opérateur Vodafone a vu ses services tomber au Portugal.

Les nations doivent donc se défendre. La France a créé l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) qui s’occupe de la défense informatique de l’appareil étatique lui-même. Les forces armées ont aussi d’ingénieurs informaticiens pour lutter dans le cyberespace. Néanmoins, il y a de plus en plus de menaces et les pays ont besoin d’aide. C’est pour cela que la France a créé aussi la réserve cyberdéfense.

D’habitude, les réservistes offrent leurs services à l’État dans les salons tels que le Forum International de la Cybersécurité (FIC), mais aussi via les plateformes numériques et les réseaux professionnels. Dès qu’ils arrivent, les réservistes signent un contrat d’engagement mais ils doivent négocier avec leur employeur civil pour libérer des jours de travail parce qu’il y aura des journées où les volontaires devront travailler exclusivement pour l’État.

Le but du forces armées est que les volontaires se sentent aussi soldat que possible même s’ils ne sont pas des vrais militaires parce qu’ils ne sont pas toujours là. En revanche, les formations reçues font que tous les réservistes aient le même objectif.

Je ne sais pas s’il y aura des réservistes en Espagne quelque fois mais cela semble une bonne idée, qu’est-ce que vous pensez ?

À bientôt !

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